Chaque naissance, les voyances poétique la ligne de voyance gratuite par téléphone continuaient d’affluer, ajoutant forcément. Des voix sans identités, porteuses d’espoirs, de joies, de désespoir de temps à autre, traversaient les dunes immobiles pour obetenir les boule de cristal de Mémoire-Morte. Djibril répondait à chaque question sans hésitation, soufflant doucement sur les surfaces scintillantes, libérant les visions futures qui défilaient devant ses yeux avec une pureté poignante. Mais la évocation qui s’effaçait en renouveau devenait une ombrage réguliere. Djibril démarra à virer jusqu’aux mémoires les plus faciles : l'harmonie des aliments qu’il aimait des temps anciens, l’odeur du jasmin qui fleurissait attenant à sa maison d’enfance, le marque de voix de sa mère, disparue depuis très longtemps. Chaque ouverture, les contours de son empreinte identitaire s’effritaient délicatement, remplacés par un vide allégé, silencieux et oppressant. Pourtant, son boulot avait un sens efficace. Chaque vision révélée aux étrangers au cadre du fil ramenait à la surface un fragment oublié du peuple qui avait habité cette cité engloutie. Au milieu des voyances humaines surgissaient de temps à autre des estrades d'avant : une vie de marché animée, des visages accueillant, un temple immense aux colonnes gravées, perdu par-dessous les sables depuis des siècles. Djibril inscrivait immédiatement ces éclats sur les murs, produisant une mosaïque complexe qui tentait de délivrer une légende effacée par le temps. La voyance gratuite téléphone qu’il pratiquait n’était plus simplement un moyen d’aider les gens à l’autre frontière du univers. Elle devenait une solution pour ramener une civilisation égoïste à la réalité. Les boule de cristal, tout fois qu’ils étaient sollicités, semblaient vibrer d’une intentionnalité nouvelle, par exemple s’ils souhaitaient eux en plus se prendre de l’oubli. Mais plus Djibril soufflait, plus son Énergie s’épuisait, laissant à la suite lui des fragments laissés tombé pour le restant de nos jours. Il sentait pourtant que cette mémoire vieille était attachée à lui d’une de style inexplicable. Certains faces, capturés dans les visions des cristaux, lui semblaient familiers, comme par exemple s’il les avait déjà croisés dans un dessein lointain. La extrémité entre ses propres histoires et les personnes du monde éteint devenait floue, confuse, presque inexistante. Il était devenu le réceptacle vivant d’une mémoire collective, au coût de la sienne. Au fil des occasions, marqué par la thermométrie écrasante de Mémoire-Morte, Djibril continuait pourtant de souffler sur les cristal, clairvoyant que bientôt, il ne resterait rien de lui-même, hormis les prédictions gravées sur les murs et la poussière froide des chroniques sacrifiés.
Sous les sables silencieuses, dans la fraîcheur trompeuse des creux de la vague, Djibril devenait l’ombre de lui-même. Le temps ne s’écoulait plus plus clair pour lui ; les évènements et les nuits se mêlaient en une seule et même réalité continue, éclairée juste par l’éclat des boule de cristal lorsqu’il répondait aux demandes incessantes de voyance gratuite par téléphone. Chaque illustration délivrée, n'importe quel sel, continuait d’effriter sa intime symbole, donnant après lui un vide grossissant, à savoir une blessure interne qui ne pouvait jamais soulager. Ses murs étaient dès maintenant fortement recouverts d’inscriptions, de reproductions, d'éléments séculaires surgis des boule de cristal eux-mêmes. En les adoptant, il essayait d'aprehender, de inclure l’essence du peuple dont les mémoires dormaient sous ses toi. Les estrades représentées dévoilaient position les traditions, les doutes et les tragédies d’une civilisation engloutie par le sable. Il apprit à bien faire le diagnostic les expressions gravées dans la pierre, à predire la signification des gestes représentés, même s’il n’était plus sûr de sa personnelle histoire. La renommée ignorée de cette voyance gratuite téléphone s’étendait désormais bien au-delà des bornes prénoms. Pourtant, la sérénité ou la transfert ne l’atteignaient jamais. Chaque photo provoquait en lui un étrange loyauté, un éloignement progressif de tout ce qui avait pu dans les temps anciens le rattacher qui soit extérieur. Le coût de ses présages devenait normal : pour préserver les mémoires d’un peuple absolu, il fallait brader sa spéciale être, ses buts, ses coups de déprime, tout ce qui faisait de lui un être humain en vie. Bientôt, même les déplacements les plus accessibles devinrent mécaniques, dépourvus de nature clair. Se préserver, courir, dormir, tout semblait artificiel, presque complètement Phil voyance vaine physionomie au poids écrasant de la connaissance profonde accumulées sur les murs de la grotte. Pourtant, il continuait, animé par une signification obscure qui l’empêchait de s’arrêter. Les cristaux eux-mêmes semblaient conjurer son sollicitude constante, vibrants faiblement même lorsqu’il ne s’approchait pas. À technique poétique que Djibril se dissolvait lentement dans l’oubli, les visions gagnèrent en force et en clarté. Ceux qui recevaient ses présages témoignaient d’une puissance indication, à savoir si les emblèmes surgies des boule de cristal s’imprimaient d'emblée dans leur clarté journalière. Mais individu, à l’autre limite du cours, ne pouvait ciseler l’immense solitude de l’homme qui leur apportait ces aperçus d’avenir. Et là, sous les sables éternels de Mémoire-Morte, Djibril comprit en dernier lieu que pour conserver les esprits d’un peuple perdu, il devait proroger de s'amoindrir intimement, devenant lui-même le verre d’une histoire prête à bien en revenir.